Anatole participait au championnat national UFOLEP à Rouchechouard (Creuse) le weekend du 14 juillet. Malheureusement la malchance s’est abattue sur lui : « […] parcours de 9 kms à faire 6 fois avec 2 bons coup de cul et virages durs à négocier. […] Nous nous élançons a 54, je pars dans les 10-15 premières positions, mais dès le départ je perds 5 places car tout le monde bataille pour les premières positions. Le départ réel lancé, je suis étonné de ne pas voir de mec faisant le départ, et 300m plus loin, rétrécissement de chaussée, crissement de jantes carbone, 3 mecs à terre. Un virage plus loin un mec sort du paquet juste le temps d’une relance, et d’une seconde chute, je me vois loin de la tête du peloton, je décide de remonter et un c****** se déporte sur la gauche (ma ligne) et malgré mes plaintes, il passe et me met à la limite de l’asphalte (où il casse qd il n’est pas régulier) je sens un gros choc dans le vélo et au moment de me remettre sur la route, psshhhhhh crevaison ultra rapide (pneu ayant 200 bornes). Je sors au plus vite ma roue, la jette dans l’herbe mais aucune voiture de dépannage (elle est devant le paquets de cadets). Je dois attendre 5 minutes une voiture de dépannage qui me file une roue mais les patins carbone sur jante alu, ça ne va pas. A la crevaison j’avais 3 bornes et j’abandonne avec 8 minutes de retard sur le paquet de cadets à 25 bornes de l’arrivé, dégouté de tant de route (1100km A/R) pour finalement 3 bornes. »
Parmi les autres courses de la fin juillet, à noter entre autre :
– 2e place de Greg à Mareuil Caubert : « Course avec une bosse assez longue et surtout du vent. Après plusieurs tentatives j’arrive à sortir avec un autre coureur et nous reprenons au fil des tours 1 mec puis un second mais pas le dernier qui est devant. Je sprinte pour la 2ème place et je termine 2. »
– 3e place au sprint d’Eric L à Saint Jacques sur Darnétal
– 4e place d’Alexandre T à Bourgtheroulde (22/7) « À 2 tours de la fin, 2 gars s’échappent. Je sors à mon tour. Ça roule fort et ça va être compliqué de revenir. Par chance un autre coureur a la même idée que moi, donc on roule les 2 à bloc et on revient sur les fuyards. Vue la débauche d’énergie pour s’extraire du peloton, personne ne se regarde, ça collabore très bien et l’échappée va au bout. Je n’ai jamais sprinté en course et donc je lance le sprint de trop loin, et me fais passer par 3 coureurs. Au final, les 45km en 1h05min48s. »
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